Thaïlande, 12 mars 2025 — Chaiwat Juntiraphong, directeur général du Département de l'administration provinciale (DOPA), a annoncé les résultats d'une action en justice contre les locations journalières illégales dans quatre unités de copropriété à Sukhumvit, Bangkok.
ceci fait suite à une récente descente des responsables de la DOPA, ciblant les violations de la loi sur les hôtels de 2004 après que plusieurs plaintes ont été déposées auprès du centre Damrongtham concernant des problèmes de bruit et de sécurité.
L'opération a été ordonnée par Anutin Charnvirakul, vice-Premier ministre et ministre de l'Intérieur, dans le cadre des efforts visant à maintenir l'ordre public et à répondre aux plaintes du public. Ronarong Thipsiri, directeur général adjoint de la DOPA, a dirigé l'opération avec des responsables administratifs et des volontaires de la défense territoriale. Les propriétaires ont été accusés d'exploiter un hôtel sans licence, ce qui pourrait entraîner des amendes et des poursuites judiciaires.
La DOPA a souligné que les locations quotidiennes non autorisées de condominiums peuvent perturber les quartiers résidentiels et présenter des risques pour la sécurité des locataires. Elle a exhorté le public à signaler les locations illégales ou les troubles connexes au Centre Damrongtham de Bangkok ou aux bureaux provinciaux afin qu'une enquête et des mesures soient prises rapidement.
Ici à Pattaya, cela a également suscité un intérêt considérable auprès de nombreux lecteurs locaux contactant The Pattaya News et demandant des avis sur les condominiums locaux et du soutien également.
En Thaïlande, la loi BE 2547 (2004) sur les hôtels régit les locations de courte durée, y compris les appartements. La loi classe la location d'un bien pour moins de 30 jours comme une activité hôtelière, nécessitant une licence hôtelière. La plupart des propriétaires d'appartements ne possèdent pas cette licence, car elle est destinée aux grandes structures commerciales soumises à des normes de sécurité et de réglementation spécifiques.
Cette restriction vise à réglementer l'hébergement touristique, à garantir le respect des règles de sécurité et à protéger le secteur hôtelier de la concurrence débridée. Sans permis, la location d'un appartement pour moins de 30 jours est illégale, bien que les conditions d'application varient.